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Natif d'Amiens, je suis très attaché à mes racines françaises et picardes. J'aime la Région où je suis né et que je n'ai jamais quittée. Outre ma Picardie, j'apprécie beaucoup la région d'Annecy où je passe prioritairement mes vacances, chaque été, depuis ma tendre enfance...
C'est à ROYE que j'ai choisi de m'établir, dès 1986. Cette cité gastronomique qui compte 6500 habitants est située sur l'axe Paris-Lille, en plein coeur de la Picardie.
Chez moi, vous êtes également au "paradis des simcas". Mon oncle était agent Simca sur Amiens, et enfant puis adolescent, je passais l'essentiel de mon temps libre dans son garage. Ces belles autos ont bercé toute ma jeunesse, aussi suis-je devenu au fil des années un collectionneur passionné de cette marque française d'automobiles, aujourd'hui éteinte.
Enfin, je suis un heureux papa célibataire. Ma fille Laurence est née le 28-11-1994. La Justice m'en a confié la garde et l'autorité parentale exclusive en 1996. "Lolo" est le soleil de ma vie...
J'aime l'humour, les voyages, la poésie, et l'actualité politique qui me fait souvent réagir...
Depuis ma tendre enfance, j'y passe mes vacances d'été, parfois même davantage.
Cette magnifique région est pour moi chargée de mille et un souvenirs...
La volonté affichée par les trois dirigeants européens de modifier les traités et d’aller vers plus d’intégration, plus de convergence, c’est-à-dire moins de démocratie et plus d’abandon de souveraineté est une catastrophe politique
.
En effet, cela revient mécaniquement à laisser encore plus de place aux spéculateurs, plus de place à la loi des marchés. Car depuis toujours dans l’Histoire des hommes, à chaque fois que l’Etat est faible c’est la Banque qui est forte.
En se projetant dans le mythe d’une Europe fédérale impossible, c’est-à-dire la supercherie d’un Etat européen, puisqu’il n’existe pas de démocratie européenne, pas de vie politique européenne et qu’il n’existera jamais de langue européenne, les dirigeants français, italiens et allemands se sont enfermés dans un modèle supranational du passé.
Là où il faudrait plus de souplesse et de croissance - notamment par une sortie de l’euro - nos chefs de gouvernements essaient péniblement de mettre en place une usine à gaz supranationale, antidémocratique et en échec économique total.
Mal gouvernés, les peuples européens donc les victimes de la farce mondialiste du libre-échange, jeu de dupes où seuls les pays les plus protectionnistes (au premier rang desquels la Chine) tirent leur épingle du jeu.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne et candidat à l’élection présidentielle
Il y a à peine un an, Marine Le Pen avait pourtant suscité beaucoup d’engouement et d’espérance pour nombre de nos compatriotes ...
Dans la Somme, mes amis et moi-même avions synthétisé cette dynamique sous la formule "GENERATION MARINE", collée un peu partout lors de la campagne des cantonales et reprise maintes fois par la presse locale...
Mais force est de constater que, pour beaucoup d'entre-nous, la déception est aujourd’hui au rendez-vous, à la hauteur de l’espérance qui était née avec l'arrivée à la présidence de la fille de Jean-Marie Le Pen l’an passé.
Au moment où la candidate FN patine dans les sondages et plafonne à un médiocre 15%, laissant désormais Nicolas Sarkozy tutoyer François Hollande à près de 30% dès le 1er tour, dans notre département la fédération de ce même parti traverse une zone de fortes turbulences...
Pour preuve, rien que les démissions successives des responsables départementaux: En à peine plus de six mois, les secrétaires des 5ème (votre serviteur, ex-candidat aux cantonnales 2011 sur Roye) et 3ème circonscription (Yves Lemesle, ex-candidat aux cantonales 2011 sur Friville-Escarbotin), le coordinateur propagande et responsable de la circonscription 2 (Yann CELOS, ex-candidat aux cantonnales 2011 sur Albert), le Responsable FNJ (Cédric VASSEUR, ex-candidat aux cantonnales sur Acheux-En-Amiénois), successivement deux secrétaires administratifs... Et d'autres ex-candidats aux dernières cantonnales: Mathieu Huguet qui avait été candidat sur Roisel, Romain Dumbala qui avait été candidat sur Chaulnes, etc... ont eux aussi claqué la porte! ...
J’avais moi-même, devant certains comportements, devant l’incompétence de l’état major et compte-tenu de l’orientation prise par ce mouvement, décidé de ne pas poursuivre ma collaboration dès le printemps dernier, refusant d’abord toute ré-adhésion avant d’envoyer plus tard à Nanterre par lettre recommandée ma démission pure et simple.
Ces derniers jours, plusieurs démissions en cascades de militants pourtant chevronnés et responsables départementaux sont à nouveau intervenues, signes d’un malaise récurrent au sein de cette fédération, échantillon local d’un malaise plus profond qui frappe à mon sens le parti à son plus niveau…
Ceci est d'autant plus regrettable que je connais bien la valeur des personnes qui ont ainsi été poussées, la mort dans l'âme, à démissionner...
Des personnes parfois adhérentes au FN depuis 20 ans et dont la sincérité de l’engagement ne peut être remise en cause.
Si ces militants le souhaitent, nous les accueillerons avec le plus grand plaisir, afin de mettre tout leur dévouement et leurs réels talents à contribution de la cause nationale que nous défendons à travers la candidature de Nicolas Dupont Aignan.
«Il n'est de plus noble et respectable fidélité que celle que l'on doit à ses propres convictions.»
Cette année, Nicolas Dupont-Aignan a commémoré la mort du Général de Gaulle à Lille.
Le traditionnel déplacement à Colombey-les-deux-églises organisé par Debout la République a été ainsi remplacé par ce déplacement symbolique du président de DLR.Il a visité notamment la maison natale de Charles de Gaulle.
L’occasion pour Nicolas Dupont-Aignan de porter son message de résistance et d’espoir sur les terres du Nord !
«Le rassemblement oui, mais au service d'un idéal ! ... »
par Nicolas Dupont Aignan
«Comme tous les ans, accompagné de jeunes, j’ai rendu hommage au Général de Gaulle.
Cette fois-ci, nous n’avons pas été à Colombey-les-Deux-Eglises mais à Lille, pour visiter la maison natale du Général. On ne peut pas, en effet, comprendre la personnalité du Général sans connaître ce lieu si particulier dont je recommande à tous la visite.
C’est l’occasion aussi de penser au gaullisme, un terme si galvaudé. Si nombreux sont ceux, en effet, qui se sont proclamés gaullistes tout en piétinant son œuvre et surtout les principes intemporels qui l’ont guidé : l’intégrité, le respect du peuple, l’esprit de résistance, l’indépendance nationale c'est-à-dire le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, la primauté du politique sur l’économique.
Il est à cet égard cocasse, pour ne pas dire insultant pour la mémoire du Général, de voir aujourd’hui ceux qui dénonçaient le référendum en Grèce faire semblant d’honorer à Colombey la mémoire du Général.
Jean-François Copé, qui accompagnait le Président de la République, a évoqué ce matin devant la presse le rassemblement des Français qu’il estime si nécessaire aujourd’hui, mais le Général de Gaulle n’a pas voulu le rassemblement pour le rassemblement, sinon il aurait répondu à l’appel du Maréchal Pétain qui demandait aux Français de se rassembler autour de lui !
Le Général de Gaulle voulait le rassemblement au service d’un idéal.
Ceux qui, aujourd’hui, appellent au rassemblement pour une politique de soumission et de déclin économique et social, et qui osent se réclamer du gaullisme sur sa tombe, font vivre une imposture. Ils devraient relire ce fameux texte d’Alain Peyrefitte :
« Les Monnet et autres Pleven considèrent que la France n’est qu’un petit pays ; qu’elle ne fait pas le poids pour jouer un rôle mondial ; qu’elle n’a donc qu’à se soumettre aux autres. Fabre-Luce vient même d’écrire que, les Français ayant fait depuis deux siècles la preuve qu’ils n’étaient pas capables de se gouverner, l’intégration supranationale allait permettre aux Allemands de nous apprendre l’organisation et la discipline. Tout ça est monstrueux ! Monstrueux ! » Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, tome 1, Editions de Fallois, Fayard, 1994, p 68-69 Extrait d'une conversation de juillet 1960, Charles de Gaulle critiquant en fait très exactement ce qui allait se produire 51 ans plus tard, sous la présidence de Nicolas Sarkozy... Mais soyons honnêtes, il est loin d'être seul dans cette posture : la plupart des chiraquiens et même Dominique de Villepin sont précisément sur la même longueur d'ondes. Quant au PS, fidèle à la ligne de son candidat, il se tait - sans que l'on sache très bien quelle est la part d'approbation dans le mutisme de celui qui rêve d'une Europe fédérale et supranationale.
Mener une politique pour la France et les Français, qui serve non seulement ce grand peuple aujourd'hui bien fatigué et déboussolé, mais également une certaine idée de l'Homme et de la liberté des nations, voilà un projet simple et évident. C'est pourtant aujourd'hui un projet de résistant, et heureusement nous sommes de plus en plus nombreux à le défendre...»
Alors que la crise s’emballe, touchant désormais de plein fouet l'Italie, et à travers bientôt elle l'économie française, les « autorités européennes » se bornent dans leurs erreurs et imposent toujours plus d'austérité et le maitien d'une politique monétaire ultra-restrictive…
Le cercle vicieux est enclanché et même s’accélère comme si tout allait bientôt exploser !
La création de la zone monétaire €uro, en rassemblant des nations ayant de fortes différences de productivité, par la conséquence non pas d'un différentiel de vertus budgétaires mais d’une disparité du stock de capital investi et de maîtrise technologique, conduisait mécaniquement à l’endettement des pays dont la balance commerciale était déficitaire.
La crise de la dette privée, aujourd’hui devenue crise de la dette publique a permis aux spéculateurs de parier sur ces différentiels, matérialisés par les écarts des taux. Entre l'Allemagne (1,7%), et les pays de l'Europe du Sud (Italie: 7,3% ce matin), y compris la France (3,3%) , cet écart n'a jamais été aussi important et il se creuse inéxorablement...
Le mandat restrictif, uniquement anti-inflationniste de la BCE a toujours interdit les interventions au soutien des économies et de la dette souveraine, à l’inverse de ce qui est largement pratiqué par les établissements centraux américains, japonais et britanniques.
Dans la « zone euro », les politiques d’austérité et de refinancement par accroissement du poids de la dette ne peuvent que continuer à amplifier la crise, encore et toujours…
Désormais, la spirale semble même devenue complètement folle ! Tous les pays allant en même temps vers l’austérité budgétaire, une récession devient inéluctable !...
En fait, l’€uro était une idée tronquée dès le départ. Ce système ne pouvait faire illusion qu’avec une croissance européenne forte, un niveau significatif d’inflation, plus une ligne de crédit illimitée aux nations subissant des attaques spéculatives.
Au lieu de çà, en imposant une austérité généralisée, une politique monétaire restrictive en dépit d’une faible inflation, les élites européennes ont été bien trop préoccupées de punir les fautifs pour se rendre compte que tout allait exploser en l’absence d’un prêteur de dernier recours qui soit efficace.
La question est désormais de savoir comment se jouera le volet final.
Peu importe la démission de Berlusconi (alors même que le déficit budgétaire et le taux de chômage italien sont inférieurs à ceux de la France, ceci dit au passage!): La flambée des taux sur la dette italienne va désormais conduire à une panique bancaire gigantesque, en raison de craintes de l'insolvabilité des banques italiennes et la peur d'une contagion générale dans la zone €uro.
A moins que les allemands ne cèdent et que la BCE soit enfin autorisée à faire tourner la planche à billets pour voler au secours des dettes souveraines, cela peut à brève échéance conduire déjà en Italie à une fermeture en urgence des banques, puis à la sortie du pays de la zone €uro...
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