CANTON DE ROYE
François GRENIER sera bien candidat à l’élection cantonale des 20 et 27 mars 2011
Fils et petit-fils d'une famille d'enseignants dans la Somme, François Grenier (47 ans) est né le 13 août 1963 à AMIENS.
Bachelier à 17 ans, puis étudiant en régime salarié (commercial dans l'automobile puis professeur auxiliaire) il passe un DEUG de sciences économiques, puis un DEUG de droit et une licence de droit public.
Père célibataire de "Laurence", née en 1994 et dont il a obtenu la garde et l'autorité parentale exclusive en 1996, François Grenier est cadre dans le transport routier de marchandises depuis près de vingt ans.
UN PARCOURS ATYPIQUE
Attiré par la politique, marqué par les leçons de morale d'un grand-père gaulliste mais également admiratif du Président de la République François Mitterrand, au milieu des années 80, il se cherche encore...
A l'issue de ses études de droit, il accepte, en 1986, d'être l'assistant parlementaire de Jacques Fleury, député-Maire de Roye, que des amis enseignants lui ont présenté quelques mois plus tôt. Une collaboration difficile, sur fond de divergences politiques: il démissionnera l'année suivante.
Cinq ans plus tard, les circonstances le conduisent à diriger la campagne électorale du "tombeur" de Jacques Fleury aux cantonales de mars 1992. Cette victoire sur un ténor socialiste local est retentissante. Même Jacques Chirac, alors président du RPR, le félicite le soir même par fax pour cette victoire!
Six ans plus tard, Jacques Fleury reprendra facilement son siège de Conseiller Général à Georges LOISIER, dirigeant lui-même sa campagne électorale en 1998...
Passionné de communication, à la demande officieuse du Président du Conseil Général Fernand Demilly, François Grenier acceptera ensuite de diriger la campagne du Conseiller général Pierre Dingremont, Maire de Saint-Valéry Sur Somme, une ville où il a ses origines familiales.
Pierre Dingremont, en situation délicate quelques mois plus tôt, manquera de peu sa réélection dès le 1er tour en avril 1994...
1992 : Son véritable engagement politique
A titre personnel, son engagement politique débute en Septembre 1992, à l'occasion du "référendum de Maastricht".
François se souvient des leçons de politique de son grand-père gaulliste. Il a reçu en héritage un amour inconditionnel de la France, pour l'indépendance et la souveraineté de laquelle tant de français se sont sacrifiés. Il sait que la Nation est la seule richesse, la seule protection des plus modestes, alors qu'une nouvelle guerre mondiale, économique celle-là, se fait jour.
Refusant les atteintes à la souveraineté nationale sous le prétexte de la construction européenne, il fait une campagne énergique pour le "NON" dans l'Est de la Somme, aux côtés notamment du jeune Député Gautier Audinot.
Le score du NON sera spécialement élevé dans son secteur de l'Est de la Somme, y compris sur la ville de Roye, malgré le vif engagement de Jacques Fleury en faveur du "OUI".
1995-2011: un combat pour la France
Elu en 1995 président du CNI Somme, il le restera jusque 1999. Il sera notamment candidat CNI-MPF (alliance électorale passée avec le Mouvement Pour la France) dans la sixième circonscription de la Somme, puis il sera également candidat aux élections cantonales de 1998, dans le canton de Villers-Bocage; Le Conseiller général sortant n'est autre que le très populaire Christian Manable, devenu en 2008 Président du Conseil Général de la Somme. Ce dernier rafle 46% des voix dès le 1er tour, mais François Grenier fait une campagne remarquée. Malgré une étiquette peu porteuse, et la concurrence d'un maire du canton, UDF-RPR, soutenu par Gilles de Robien, dont il ruine le score électoral, François Grenier multiplie par quatre son score des législatives, talonne le candidat du Front national et distance largement les autres candidats, dépassant à lui seul les scores cumulés des "Verts", du PCF, et de Génération écologie. Un succès relatif salué par la presse locale. Du reste, à la suite de la campagne cantonale 1998, les relations de F. Grenier avec le Président Christian Manable sont restées excellentes, empreintes d'un grand respect réciproque.
1999: la fédération départementale du CNI se fond dans le nouveau "Rassemblement Pour la France" (RPF) que viennent de créer Charles Pasqua et Philippe De Villiers.
Lors du congrès fondateur du RPF, François Grenier en est élu Président départemental dès le 1er tour avec 81% des voix.
Il le restera jusque 2001 où les dissensions à la tête du parti, ainsi que des complications d'ordre professionnelles le conduisent à démissionner.
Il s’en suit une longue période (presque 10 ans) durant laquelle, bien que fervent militant de la cause nationale, François Grenier, ne sera plus candidat aux élections locales. Ayant fait en 2002 la connaissance de Michel Guiniot, avec lequel des liens d’amitiés se sont tissés au fil des ans, il se rapproche des structures du Front National. Le mouvement de Jean-Marie Le Pen est le dernier rempart politique défendant la souveraineté française. Mouvement auquel François Grenier décide d’apporter un soutien discret mais constant, avant d’accepter d’y prendre des responsabilités de plus en plus importantes. C’est ainsi qu’il est nommé Responsable de la 5ème circonscription (Roye-Albert) de la Somme, puis également Secrétaire administratif et au fichier, chargé de la communication départementale…
Enfin, la commission nationale d’investiture vient de le choisir pour être le candidat du FN aux élections cantonales des 20 et 27 mars 2011 dans le canton de Roye.
candidat en 2011 sur le canton de ROYE
C’est donc officiel, François Grenier est désormais candidat dans le canton de Roye. Un canton qu’il connaît bien car il s'est établi à Roye pour la première fois en 1986.
Il apprécie cette ville de 6500 habitants et son canton rural (33 communes au total). Ses campagnes électorales précédentes lui ont permis d'en découvrir tous les contours.
Il est convaincu que Roye a des atouts essentiels qui méritent d'être mis en valeur, davantage que par le passé.
Son autoroute, sa voie rapide reliant Amiens, sa proximité à la fois de Paris, de Lille et du Benelux, son implantation au coeur de la région picarde, le potentiel agro-alimentaire du Santerre, etc etc...
Dans la Somme, l'activité touristique est un domaine encore neuf. Certes, le climat est pluvieux en Picardie et le réchauffement climatique serait plutôt ici le bienvenu... Le fait est que le tourisme y a justement de beaux jours devant lui. La pollution et le béton ont plutôt épargné une verte et reposante campagne, parsemée d'étangs et de cours d'eau. La pêche, la chasse, les édifices, musées et curiosités historiques... Les atouts ne manquent pas. Par ailleurs, les infrastructures routières se sont modernisées.
Dans ce contexte, Roye, ville étape idéalement implantée, dont la gastronomie est historiquement renommée, devrait jouer un rôle de véritable vitrine touristique. De nombreux emplois directs et induits sont en jeu.
Office du Tourisme, Hôtellerie de plein air, évènements médiatiques, etc... François Grenier avait déjà mis cette idée en avant dès 1992, mais Georges LOISIER n'avait ensuite pas su l'imposer, malgré son appartenance à la majorité départementale et son statut de conseiller municipal à ROYE. A plus de soixante ans, ce dernier qui vient encore de subir en 2008 un échec cinglant à ROYE aux municipales, ne semble d'ailleurs plus être en mesure de s'imposer politiquement dans le secteur.
François Grenier a bien d'autres projets et ambitions pour le canton de Roye, qu' il compte à l'aoccasion de cette campagne cantonale pouvoir développer dans les semaines et les mois à venir.
Mais s'il retourne dans l'arène politique, c'est aussi pour faire gagner ses idées et contribuer à implanter la famille nationale dans le paysage politique local.
« Faire entrer du sang neuf, des idées nouvelles, des femmes et des hommes politiques nouveaux au Conseil général ! (…)
Le FN représente depuis longtemps environ 20% des nos compatriotes. Mais il est aujourd'hui encore exclu de la plupart des assemblées locales ou nationales. Il faut que cela cesse ! La décision est du ressort des électeurs. C'est eux qui choisiront en mars prochain. En 2010, le Front National a fait un trés beau score dans toute la Picardie: 8 conseillers régionaux FN ont ainsi été élus au Conseil Régional! . Les habitants de la Somme peuvent à nouveau faire bouger les choses en mars 2011 : Ils peuvent faire de cette prochaine consultation un nouveau succès pour notre famille politique qui peut et doit faire son entrée au Conseil général ! (…)
Nous lutterons contre les gaspillages. Nous donnerons aussi un sacré coup de jeune à la vieille maison départementale, qui a besoin de s'aérer un peu ! Nous y ferons entrer l'énergie, l'imagination et l'audace. Notre détermination est totale. (...)
Nous comptons aujourd'hui sur le soutien massif des électrices et des électeurs de la Somme, comme ils peuvent déjà compter sur notre entier et loyal dévouement»
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