MON PARCOURS POLITIQUE EN QUELQUES DATES...
Certains me connaissent bien depuis longtemps, d'autres me découvrent aujourd'hui.
Comme je l'ai écrit et expliqué maintes fois, je suis issu d'une famille modeste, qui compte de nombreux instituteurs sur plusieurs générations. J’ai reçu très tôt une éducation politique de la part d'un grand-père gaulliste, qui m'a beaucoup marqué.
Baccalauréat, DEUG sciences éco, DEUG Droit, Licence en "Droit public"... Ayant commencé à travailler dès l’âge de 18 ans (commercial puis professeur auxiliaire), j’ai poursuivi mes études en régime salarié.
Jeune diplômé en droit, je deviens attaché parlementaire de Jacques Fleury, Député-Maire de Roye. Il s’agit d’un « contrat de travail » et non d’un engagement politique. Je quitte ma ville natale d’Amiens pour m’établir à Roye, où je réside toujours en famille aujourd'hui...
Mars 1992 : Directeur de campagne de Georges Loisier, nous parvenons à mobiliser Charles Pasqua (Bernard Tomasini, son chef de cabinet, est un ami personnel…) à Roye en pleine campagne cantonale. A la surprise générale, le canton de Roye bascule et Jacques Fleury essuie alors sa première défaite électorale.
Septembre 1992 : La campagne du NON au référendum de Maatricht marque mon véritable engagement en politique. Aux côtés de Gauthier Audinot : Nous remportons dans l’Est de la Somme un succès spectaculaire, y compris à Roye-Ville, où nous obtenons 55% de NON alors que Jacques Fleury avait fait campagne pour le OUI !
1994 : Je soutiens à la présidentielle Philippe de Villiers
1995 : je deviens Président du CNI Somme, le CNI est en alliance électorale avec le MPF de Philippe de Villiers.
1997 : Je suis candidat CNI-MPF aux législatives (3,57%) dans la 6è circonscription de la Somme
1998 : je suis candidat CNI-MPF aux cantonales dans le canton de Villers-Bocage (9,53%)
1999 : le CNI Somme se fond dans le RPF naissant de Philippe de Villiers et Charles Pasqua. Je suis élu Secrétaire Départemental du RPF (il y avait 3 candidats) avec 81% dès le 1er tour
Le RPF n’a malheureusement pas survécu aux rivalités Villiers/Pasqua et autres difficultés au niveau national.
2002-2010 : je fais la connaissance de Michel Guiniot (qui reste à ce jour un ami) et accepte d’apporter une aide discrète mais continue au FN aux différentes échéances électorales. Fin 2010 : l’adhésion au FN m’a été offerte à la suite de mes services rendus. Je finis par accepter de prendre quelques responsabilités fédérales, en espérant une ouverture du parti frontiste aux autres composantes souverainistes. Je m'attends surtout à un recentrage sur l’échiquier politique et à la création d'une grande famille nationale et républicaine. Je pense alors naïvement que Marine Le Pen va pouvoir engager cette « mue politique »…
Mars 2011: J'accepte le soutien du FN et me présente aux électeurs du canton de Roye, tout en précisant que je suis gaulliste et en publiant, photos et dates à l'appui, mon itinéraire politique. Je choisis d'ailleurs de ne pas distribuer la propagande frontiste. Je rédige et conçois personnellement chacun de mes documents de campagne. Je réalise 26,85% au 1er tour et à la surprise générale, impose une triangulaire. En conséquence, la candidate socialiste ne sera élue qu'avec une minorité de voix dans le canton...
Avril - Septembre 2011 : Nicolas Dupont-Aignan se lance résolument dans la course à la présidentielle.
Je connais Nicolas depuis plus de 10 ans; Nous étions ensemble au RPF. Lui en tant que Secrétaire Général Adjoint (au national) pendant que je dirigeais la fédération RPF de la Somme.
Soutenu par mes amis dans ma démarche, je soutiens ouvertement Nicolas Dupont-Aignan. Désormais, notre famille gaulliste et républicaine est à nouveau en ordre de bataille dans la Somme !
19 décembre 2011 : Nicolas Dupont-Aignan, en décidant rencontrer à Roye les élus locaux qui l’ont déjà parrainé, vient saluer le travail effectué et remercier les équipes qui le soutiennent dans le Santerre…
La France est aujourd'hui à la croisée des chemins. Les échéances qui arrivent seront capitales, car elles détermineront, peut-être de manière irréversible, ce que deviendra notre pays.
L'écho que nous suscitons à travers la collecte des parrainages est le signe que les lignes sont bel et bien en train de bouger, que la famille gaulliste a plus que jamais, non seulement le droit mais surtout le devoir de retrouver son électorat pour lui éviter le vote par défaut vers un « C U L de sac » politique...
Nicolas Dupont-Aignan incarne une force montante, une force d’avenir, une force gouvernementale, une force de rassemblement.
J’en suis convaincu, sa notoriété va exploser à l’occasion de cette élection présidentielle, et le paysage politique de notre pays en sortira modifié.
Nicolas Dupont-Aignan a d’immenses qualités, reconnues par les électeurs de gauche comme de droite puisqu’aussi bien dans sa circonscription que dans sa commune, il est maintenant réélu dès le 1er tour avec respectivement 58 et 80% !!... Je prends même le pari que pour la présidentielle de 2017, un certain Jean-François Coppé ne fera même plus office de favori face à lui !
Nicolas rassemble au-delà de son propre camp, là où d’autres ne parviennent plus à unifier leurs propres troupes !
C’est vrai que nous en avons assez de voir notre électorat contraint de choisir entre abstention ou vote extrême par défaut, pour tenter d’envoyer un message que les partis du système ne veulent pas entendre et encore moins comprendre.
Alors oui, voter Dupont-Aignan est un soulagement, un vote clair et utile. Oui, notre famille représente un espoir, un avenir pour notre pays.
Car nous sommes fermes et courageux là ou d’autres sont provocants et excessifs, nous rassemblons là où d’autres divisent, et nous faisons bouger les lignes là ou d’autres s’enferment dans l’isolement qui met leurs électeurs en congés de la République!
François Grenier
Je connais ses nombreuses qualités, nous partageons les mêmes valeurs du gaullisme, nous avons la même vision de la France, de l’intérêt général et de l’Europe des Nations.
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