VISITE AMICALE DU CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE
A l’invitation de François Grenier, Nicolas Dupont-Aignan sera en Picardie, et plus précisément à ROYE lundi prochain. Les deux hommes se connaissent bien. Il y a 11 ans, François Grenier était élu dans la Somme Secrétaire Départemental du RPF dont Nicolas Dupont-Aignan était (au niveau national) Secrétaire Général Adjoint. Il était logique que François Grenier accepte de le soutenir sans réserve dans sa campagne présidentielle.
Nicolas Dupont-Aignan est Député de l'Essonne, Maire de (91) YERRES (29.000 habitants) et Président de la Communauté d'Aglomération du Val d'Yerres (90.000 habitants).
Président de DEBOUT LE REPUBLIQUE (DLR), Nicolas Dupont-Aignan est candidat à l'élection présidentielle de 2012.
Malgré un emploi du temps particulièrement chargé, Nicolas Dupont-Aignan a donc choisi de faire escale à Roye, dans le « tour de France des élus locaux » qu’il a entrepris dans le but de dynamiser la collecte des parrainages (400 parrainages lui sont d’ores et déjà acquis, et la barre des 500 devrait être bientôt atteinte) mais aussi dans le souci d’être à l’écoute de ses collègues des quatre coins de la France, soulignant qu’il sera probablement le seul candidat à l’élection présidentielle à être aussi maire d’une commune (et même président d’une Com de Com…)
Après un entretien avec la presse en milieu de matinée, NDA rencontrera notamment les élus du Santerre qui lui ont d’ores et déjà donné leurs parrainages, avant de clôturer sa visite par un verre de l’amitié.
UN MEETING EGALEMENT PREVU AU PRINTEMPS…
Par ailleurs, un meeting devrait bientôt être organisé, au cours de la campagne présidentielle, dans la capitale du Santerre.
Toutes les informations utiles vous seront données en temps utile, dans un prochain article.
PATRIOTISME ECONOMIQUE : SLOGAN GADGET ou CONVICTION ?
« En 2012, le vrai débat, ce sera le débat entre les mondialistes et les nationaux (…) C'est la fin d'un système qui s'épuise devant ses contradictions. Comme celle de vouloir un monde ouvert et en même temps de dire qu'on peut maintenir le niveau social »
Nicolas Dupont-Aignan incarne un « protectionnisme intelligent » qui vise à relocaliser un million d'emplois en France.
Sur le fond, Nicolas Dupont-Aignan est combatif et appelle les électeurs à ne pas tomber dans le panneau. Depuis quelques temps, élection oblige, le patriotisme économique semble subitement à l’honneur ! Les « slogans gadgets » et les discours de communication, élection oblige, fleurissent et se multiplient… Or, Il faut « aller au bout de la logique du acheter français et du produire en France. Cela consiste à donner concrètement aux entreprises les moyens de rester en France »
« François Bayrou veut acheter français. Nicolas Sarkozy visite une usine à Sallanches. François Hollande se fait accompagner de Montebourg et Dominique de Villepin s’indigne des injustices croissantes.
Un point commun à tous : ils découvrent soudain, élection oblige, la débâcle industrielle, mais ils en sont les principaux responsables ! Car, qui a signé depuis 20 ans tous les traités européens qui ont handicapé notre industrie et ont incité nos entrepreneurs à délocaliser ?
Qui défend bec et ongles l’euro surévalué qui asphyxie nos entreprises et les pousse à produire hors zone euro ?
Qui hurle au populisme lorsqu’on demande simplement une vision réaliste des échanges internationaux et le droit de la France et de l’Europe à se protéger un minimum comme le font tous les Etats du Monde ? …
Aujourd’hui, à l’occasion de toutes ces visites d’hommes politiques dans les usines françaises, il y a plus de caméras que d’ouvriers ! Le grand show a commencé pour faire croire qu’il était possible de tout concilier : l’ouverture totale des frontières avec des pays esclavagistes et la défense de notre industrie, l’euro cher aligné sur le mark et le dynamisme de nos exportations.
Depuis 20 ans ceux qui veulent se refaire une virginité en allant serrer la main des rescapés de l’industrie racontent tout et le contraire de tout. Dans les discours c’est possible, mais face au mur des réalités économiques cela ne marche pas.
Il va bien falloir choisir. Si l’on considère, comme j’ai été l’un des premiers à le dire, qu’il n’y a pas de puissance économique sans une industrie forte, qu’il n’y a pas de protection sociale sans des gains de productivité dans le secteur industriel, il va falloir radicalement changer de politique. »
« Je ferai campagne sur le thème du protectionnisme intelligent. Il ne s’agit pas, bien sûr, d’enfermer la France derrière des murailles. Il s’agit tout simplement de rétablir la loyauté de l’échange.»
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