Sur les hauteurs de l’Ile de Beauté, au beau milieu de l’été, un brave
paysan corse et son troupeau de moutons traversent tranquillement une
route de montagne…
Un automobiliste arrive brusquement et pile, en secouant la tête dans tous les sens…
Il interpelle le berger :
« éh ! .. vous pouvez libérer la route ? je peux pas passer moi ! »
- « oh là !… Alors même en vacances, vous êtes pressé ? … Ah les parigots…» Et le berger se marre gentiment.
« bon, laissez moi passer , ou dépêchez vous de faire traverser toutes vos bêtes, sinon je suis là jusqu’à ce soir… »
- « éhhh… c’est qu’il y a du monde hein !… Oulàlà… Tenez, pendant que
vous attendez, dites moi combien j’ai de moutons dans mon troupeau pour
voir.. Si vous tombez juste, je vous donne un jeune ! »…
Alors l’automobiliste se gare, il prend sa machine à calculer. Il
mesure la hauteur de l’herbe, vérifie l’altitude de l’endroit, calcule
le diamètre du troupeau …
Et il lance au berger :
« Votre troupeau compte 855 têtes , à un ou deux près ! »
Notre paysan Corse est sur le cul… Effectivement, il a dit juste ! « Ben merde alors ! » lâche t-il… « Bon, j’ai qu’une parole… Allez choisir votre agneau… Il est à vous »…
Le parisien s’empare de la bête et se dirige vers son véhicule…
Et là, le berger lui lance :
« dites donc, vous seriez pas gratte-papier vous?… Je sais pas, comme
fonctionnaire au ministère de l’Agriculture ou quelque chose comme çà …
? »
Le parsien se retourne, étonné à son tour …
-« ben oui, comment avez vous deviné ? »
« parce que c’est mon chien que vous tenez dans vos bras ! »...
Lors d'un voyage d'affaire Chirac et Sarkozy se retrouve dans le même compartiment du train en compagnie d'une superbe blonde et d'une nonne.
Le train s'engage
dans un tunnel, et le compartiment s'assombrit au point de ne plus rien
y voir et c'est à ce moment là que l'on peut entendre le bruit
retentissant d'une gifle...
A la sortie du tunnel une marque rouge est imprimée sur la joue de Sarkozy...
Que pensent nos quatre voyageurs ?
La plantureuse blonde : Sarkozy a voulu me caresser et il s'est trompé, la nonne l'a giflé... Quel maladroit !
La nonne : Ce monsieur a effleuré le genou de cette femme et elle l'a giflé... surprenant... mais très bien vu...
Sarkozy : Chirac a voulu faire du rentre dedans à cette femme, et elle a pensé que c'était moi... quelle erreur !
Chirac : Vivement le prochain tunnel.. que je puisse lui en remettre une !
"Etre sexy" c'est quoi ?...
A mes yeux, être sexy c’est tout simplement être attirant et « dégager
» quelque chose. Cela n’a pas grand chose à voir avec la mode ou les
paillettes. Et pas forcément avec la plastique corporelle.
Chercher à coller à tout prix à la mode c’est au contraire manquer de
personnalité. Tandis que la beauté est au fait d’être sexy ce que le
charme est au charisme : ça y contribue sans être suffisant.
La plastique n’est qu’un élément parmi d’autres tandis que la
personnalité propre joue beaucoup, et que même certains petits
«défauts» physiques (strabisme ou autres particularités du corps)
deviennent parfois des points forts et déclenchent paradoxalement
l’envie…
Il n’y a pas de recettes de cuisine en la matière. Comme on dit « les goûts et les couleurs … »
Ne pensez vous pas que ceux qui ne comprennent pas ces nuances manquent un peu de maturité ?
Le Président George Bush est assis dans le fauteuil de son bureau Ovale, en train de se demander quel pays il pourrait bien envahir à la suite de l'Irak pour se faire à nouveau réélire les Républicains à l'issue de son second mandat...
Quand tout à coup, son téléphone se met à sonner... "Bonjour, Monsieur le Président" dit une voix avec un fort accent belge.
"C'est Willy Vandeputte, président du cyclo-club namurois en Belgique. Fieu, je t'appelle pour te dire que nous déclarons officiellement la guerre aux États-Unis!"
"Hem, eh bien Willy," répond Dobelyou, "C'est en effet une nouvelle
importante! Quelle est la taille de votre armée?" "En ce moment,"
répond Willy après un moment de réflexion, "On est moi, mon cousin
Rudy, Eddy mon voisin d'à côté, et toute l'équipe du vélo-club
namurois. Ça fait huit!"
George l'arrête
"Je dois vous dire Mister Vandeputte, que j'ai un million d'hommes dans
mon armée qui n'attendent que mon ordre pour envahir la Belgique. "
"Gotferdom," s'exclame Willy. "Faut que je te rappelle, fieu !" Et il raccroche.
Évidemment, le jour suivant, Willy appelle à nouveau Bush. "M. Bush, la
déclaration de guerre est toujours d'actualité! Nous sommes parvenus à
acquérir de l'équipement d'infanterie!"
"Et quel équipement avez-vous donc à présent M. Vandeputte?"
"Eh bien, nous avons deux moissonneuses-batteuses, un caterpillar, et le tracteur et la remorque de la ferme de Jeff."
Le Président Bush soupire. "je dois vous dire, Willy, que j'ai 16 000
chars Abrahams et 14 000 blindés légers. En outre, j'ai rappelé les
réservistes de la Garde Nationale , et mon armée compte 500 000 hommes
de plus que depuis notre dernier coup de fil."
"Potverdek", lâche Willy, "je vais te rappeler, laisse-moi un jour ou deux!"
Comme il fallait s'y attendre, Willy rappelle le jour suivant:
'"Président Bush, la guerre est toujours pour demain! Nous avons monté
notre propre flotte aéronautique nous même! Nous avons récupéré l'avion
d'épandage de pesticides de la coopérative et on a mis tous nos fusils
de chasse dans l'habitacle, soyez prêts à recevoir des pruneaux, des
plombs, et même une bonne dose de D.D.T. si il le faut!
Deubeulyou reste silencieux un moment, puis il se racle la gorge et dit:
"Monsieur Vandeputte, l'armée U.S. compte 10 000 bombardiers et 20 000
avions de combat. De surcroît, mon dispositif militaire est secondé par
des batteries de missiles sol-air à guidage laser. Et depuis que nous
avons parlé ensemble la dernière fois, j'ai fait passer mon armée à
DEUX MILLIONS d'hommes!"
"Jésus, Marie, Joseph," renâcle Willy, "je vais te rappeler une fois hein…"
Comme prévu, le jour suivant, Willy rappelle Deubeulyou: '"Président
Bush! Je suis désolé de devoir vous dire qu'on va devoir faire une
croix sur cette guerre"
"Oh, je suis bien triste d'entendre ça" répond Bush. "Et quelle la raison de ce revirement si soudain?"
"Eh bien, monsieur," avoue Willy, "on s'est tous assis autour d'une
bière avec les copains et on a eu une longue conversation. Après
quelques pintes de Chimay, on en est arrivé à la conclusion qu'on ne
trouverait jamais assez de place et de nourriture par chez nous pour
deux millions de prisonniers!"
Saddam Hussein, Président de l'Irak depuis 37 ans, vient d'être condamné aujourd'hui même à la peine de mort par le pseudo tribunal instauré par les américains occupants ce pays illégalement depuis 2003...
IL est condamné à mort à raison d'un premier chef d'inculpation, à savoir l'exécution qui aurait été ordonnée par lui, en 1982, de 146 personnes opposantes à son régime dictatorial, après qu'un attentat dirigé contre sa personne eût à l'époque échoué de peu.
Quand on sait que plus de 650 000 personnes sont mortes à cause de la guerre illégale (c'est à dire contre la volonté exprimée de l'ONU) en Irak, à la seule intitiative de G.W Bush (et de son enfoiré de comparse Tony Blair), j'aimerais bien savoir quel tribunal pourra bien un jour faire payer la note à cet assassin? ...
Tout le monde sait bien quelles raisons bassement financières et statégiques ont présidé à l'invasion mensongère de l'Irak, Pays récemment encore ami de la France.
Jamais Saddam Hussein n'aura fait autant de mal à son pays que l'administration Bush, de surcroît en si peu de temps, alors qu'elle n'est pas chez elle et qu'elle est totalement illégitime dans son action! ...
Une honte mondiale!
Lorsque
j'étais enfant, je vouais une admiration particulière pour un de mes
oncles qui avait quitté la SNCF pour s'installer à son compte comme
garagiste. Les premières années furent pour lui un pari risqué et
difficile, travaillant seul dans un petit garage en location. Puis, à
la force des poignets, son affaire pris de l'ampleur et il devint agent
d'une marque française trés en vogue dans les années 60-70 : "SIMCA"...
Le garage
comptait six mécanos en plus de mon oncle, avant que sa fille ainée ne
vienne tenir la comptabilité. Tout petit, j'avais la passion des
arondes et des autres modèles plus modernes qui allaient et venaient
dans ce garage dynamique d'Amiens. Lorsque mes parents qui possèdaient
à l'époque une DS cherchaient après moi, il leur arrivait fréquemment
de me retrouver enfermé dans une aronde P60 de la famille ou celle d'un
client, car j'étais spécialement amoureux de ce modèle là...
Plus tard, vers l'âge de 12 ans, je m'empressais d'enfiler mon petit
bleu de travail que m'avait offert mon oncle, et j'allais balayer le
garage chaque samedi aprés-midi, pour la modique somme de 20 francs !
Ce n'était pas pour l'argent, et je prenais tout mon temps car j'étais
au paradis, entouré de toutes ces belles voitures et des tous les
outils de réparation...
Je me souviens encore parfaitement de l'odeur mélangée des produits de
carrosserie et des lubrifiants de la petite station service "ANTAR",
qui parfumait tout le garage ...
Lorsque j'ai eu mon permis de conduire, je me suis en quête d'une
aronde P60, bien entendu, mais elles étaient devenues rares... Surtout
en bon état. Aussi je me suis rabattu sur une simca 1100 que m'avait
offerte mon ancienne institutrice, et qui avait de ce fait encore plus
de valeur à mes yeux. Cette voiture avait 10 ans mais
elle était comme
neuve, et je l'ai conservée 7 années, parcourant à son volant plus de
150 000 kms.
1986 : Je me souviens avoir eu la larme à l'oeil lorsque mon oncle a
décidé de fermer son garage, après que la marque simca devenue "Talbot"
ait été lâchée par Le groupe PSA, sur fond de grèves à répétition à
Poissy...
Et
puis les années ont passé, et en 2000, après avoir eu nombre de
véhicules modernes de différentes marques étrangères ( j'avais toujours
une dent contre Peugeot ! ), je me suis enfin trouvé le temps et les
moyens d'honorer mon rêve de gamin, acquérir "mon aronde P60" !
Non sans mal, je me suis mis à la recherche de la plus belle P60 que je
pouvais encore dénicher et j'ai parcouru pour cela toute la France,
souvent déçu par l'état dans lequel je trouvais les autos des petites
annonces ou que mes amis m'avaient signalées.
C'est deux années plus tard que mon rêve allait enfin pouvoir se
réaliser... Mon aronde P60, celle dont je rêvais depuis si longtemps,
elle m'attendait sagement au fond du pays de Bresse, dans l'Ain.
Elle était "bleu pervenche", appartenait depuis toujours à la même
famille alors que le grand-père qui l'avait achetée neuve en janvier
1961 était depuis longtemps déjà décédé. Du coup, elle n'était presque
jamais sortie et avait moins de 10 000 kms d'origine !
Aujourd'hui cette aronde affiche toujours fièrement "14 750" kms au centre de son compteur chromé sur fond noir.
Je ne l'avais pas imaginé, mais l'arrivée de cette voiture a bousculé ma vie.
La voiture ancienne, c'est tout un art de vivre. Tout est différent à
son bord : la route, les week-ends, les voyages, les amis que l'on
cotoie...
Tout change de nature et une passion émerge, mélange de
souvenirs nostalgiques qui remontent à la
surface et de
l'émerveillement des enfants à la vue de ces autos "extra terrestres"
au bruit bizarre et si drôles à contempler...
La voiture
ancienne, c'est un témoin "vivant" du passé, "en chair et en os", de
taille réelle, avec le bruit, l'odeur, les sensations de conduite de
cette époque...
La voiture ancienne, c'est tout simplement une machine à remonter le temps.
François GRENIER.
email [email protected]
je vous emmène
en promenade
sur Amiens…
Le Joyau
de la couronne amiénoise,
c’est bien sûr la Cathédrale,
dont la restauration
se poursuit.
La Cathédrale
fait aussi l'objet d'un son
et lumière de toute beauté.
La Gare d’Amiens
est en toute logique,
la première étape
car nous arrivons en train
dans la capitale picarde…
Après l’apparition récente
d’un complexe cinématographique
à ses côtés, la Gare d’Amiens
fera bientôt l’objet d’un profond
réaménagement.
Un projet d’envergure
qui va transfigurer tout le quartier…
La tour Perret se voit de loin.
Construite en 1954,
elle était alors le plus haut
édifice habité de toute l’Europe…
Elle se dresse juste en face de la Gare.
Le Cirque d’Amiens est aussi
une curiosité locale.
Il s’y est longtemps déroulé
les meetings et manifestations
d’importance.
Il est maintenant concurrencé
en cela par le complexe Mégacité…
Enfin, le centre ville…
En proie comme partout
à la piétonnisation forcenée…
Le vieil Amiens, c'est surtout le quartier
Saint-Leu, qui a été mis à l'honneur depuis
une vingtaine d'années. Il héberge nombre
de petits restaurants et de pubs, ouverts
tous les jours jusque tard dans la nuit.
Ce quartier est un lieu de sortie apprécié
des amiénois et des étudiants.
Mon quartier de naissance…
Saint-Acheul ! …
Et ses petites maisons amiénoises
traditionnelles en briques….
Enfin, les hortillonnages consituent également
une curiosité locale.
C'est un ensemble de canaux ancestraux qui
serpentent et délimitent une multitude
de jardins potagers, aux abords immédiats de la ville.
Des promenades guidées en barques y sont
organisés, très agréables à la belle saison…
Rapide ballade sur la côte picarde…
Je vous en parle souvent,
mais je n’avais pas encore
eu l’occasion de la présenter
en photos…
Saint-Valery, c’est un peu
notre petit « saint-tropez »
local à nous les picards…
La baie de somme
est réputée et classée
au patrimoine mondial…
Elle a de tout temps
été source d’inspiration
des artistes peintres connus
et moins connus…
On y rencontre souvent
de sympathiques phoques
qui font eux aussi le bonheur
des photographes professionnels et amateurs
Cela fait deux ou trois fois que l'américain sourit niaisement au français, qui fait mine de ne pas le voir…
Soudain, l’américain lance un crachat juste au-dessus de la tête du
français, en l’effleurant mais sans le toucher… Le français fais comme
s’il ne s’en était pas aperçu..
Et puis le « yankee »
continue comme çà pendant de longues heures à cracher de temps à
autres, au raz de la tête du français, en l’effleurant à chaque fois
mais sans jamais le toucher. Les crachats atterrissent au niveau de
l’oreille droite, de l’oreille gauche, au sommet du crâne, etc.…
Tant et si bien qu’un peu avant Toulouse, le français finit par se
retourner, et il aperçoit sur le mur du compartiment que son profil est
dessiné presque parfaitement par toute la collection de crachats de
l’amerloc ! …
Il se retourne vers lui et ne peut dissimuler sa stupéfaction…
C’est alors que l’américain sourit de toutes ses dents et lui exhibe sa
carte de visite… On peut y lire : « James Kalagham, champion du monde
de crachats »
Le français ne dit rien, rumine trois secondes, et finit par lui lancer un très gros crachat en pleine tronche !
Puis il sort de sa poche une carte de visite :
« Jean Dupont … amateur »
"Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît."
"Dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon."
"Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrot. C'est dire si dans ma vie j'ai entendu des conneries."
"L'été: les vieux cons sont à Deauville, les putes à Saint-Tropez et les autres sont en voiture un peu partout."
"Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer. "
"Les producteurs de films ont tous des Rolls-Royce parce que, dans le métro, il faut payer comptant."
"Les traditions? C'est comme ça qu'on appelle les manies dès qu'il s'agit de fêtes militaires ou religieuses."
c'est çà, et bien d'autres choses, l'univers Audiard!
Incomparable, inoubliable, un monde à part. Il mérite bien ce petit hommage.
Biographie :
Audiard, Michel (1920-1985) :
a exercé plusieurs métiers (coureur cycliste, opticien, tireur à l'arc,
journaliste...) avant de travailler pour le septième art. Dialoguiste
du cinéma français. Il a su créer un style inimitable.
Ses
dialogues, taillés sur mesure pour leurs interprètes, prennent tout
leur sel dans la bouche de Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Lino
Ventura, Annie Girardot, Mireille Darc, Louis de Funès, Bernard Blier,
Charles Aznavour ou Michel Serrault, pour ne citer qu'eux.
Ses textes épousent le langage gouailleur et argotique de la rue ou des
bistrots de Paris. Le succès d'Audiard repose sur une règle d'or :
écouter les gens.
Michel Audiard a dialogué quelque cent vingt
films, de 1949 (Mission à Tanger d'André Hunebelle ) à 1985 (la Cage
aux folles III, de Georges Lautner et On ne meurt que deux fois, de
Jacques Deray ).
Il a écrit pour plusieurs générations de
cinéastes, notamment Gilles Grangier (onze films entre 1954 et 1962,
dont les Vieux de la vieille, Le cave se rebiffe et le Gentleman
d'Epsom ), Henri Verneuil (Un singe en hiver, 1962 ; Mélodie en sous
-sol et 100 000 Dollars au soleil, 1963 …), Denys de La Patellière
(dont Un taxi pour Tobrouk, 1961 ), Georges Lautner (quatorze titres,
dont les savoureux Tontons flingueurs, 1963, les Barbouzes et la Grande
Sauterelle, 1965 ), Philippe de Broca (Tendre Poulet, 1978) ou Claude
Miller (le remarquable huis-clos de Garde à vue, 1981).
Michel
Audiard a lui-même réalisé neuf films, des comédies populaires,
légères, voire vulgaires, dont les titres parlent d'eux -mêmes : Faut
pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages (1968 ),
Une veuve en or (1969 ), Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas,
mais … elle cause, le Cri du cormoran le soir au -dessus des jonques
(1970 ), Le drapeau noir flotte sur la marmite (1971 ), Elle cause plus
… elle flingue (1972 ), Comment réussir dans la vie quand on est con et
pleurnichard (1973 ) et Bons Baisers à lundi (1974 ).
La formule 1 a perdu le plus grand de ses champions…
Pour sa fin de carrière, le pilote allemand a vraiment joué de malchance car il aurait pu, il aurait dû, gagner les deux derniers grands prix 2006, et ainsi être sacré Champion du Monde pour la huitième fois, 10 pts devant Alonso...
Le hasard a mis sur sa route des embûches incroyables : deux casses mécaniques et une crevaison!!
Moteur cassé lors du grand prix de Chine alors que la victoire lui était assurée, et puis une deuxième casse mécanique au Brésil lors des qualifs, ce qui lui a imposé la dernière place sur la grille de départ.
Et enfin, une crevaison en tout début du grand prix du Brésil... Et quel spectacle malgré tout ! ... Le septuple champion du Monde de F1 est remonté à une vitesse prodigieuse (2 secondes et demi au tour plus rapide que les leaders pendant 60 tours!...) à la quatrième place, à une poignée de secondes de son concurrent au titre...
Nous allons te regretter Michael...
Et que se taisent les jaloux qui sont bien obligés d'admettre que tu as été, de longues et belles années, tout simplement le meilleur pilote de l'histoire de la Formule 1!
"Un secret, ce n'est pas quelque chose qui ne se raconte pas. Mais
c'est une chose qu'on se raconte à voix basse et séparément."
"C'est dans la marine qu'il y a le plus de cocus."
"Depuis que nous avons la télévision à la maison, nous prenons nos
repas tous du même côté de la table, comme dans la Cène de Léonard de
Vinci."
"il faut se méfier des ingénieurs, ça commence par la machine à coudre, ça finit par la bombe atomique."
"L'ambition, c'est la richesse des pauvres."
"L'honneur, c'est comme les allumettes: ça ne sert qu'une fois."
"Les choses ne se disent pas. La parole, c'est la petite vague
au-dessus; mais les profondeurs, ça ne se voit pas."
"Quand on aime quelqu'un, c'est effrayant comme on pense peu aux autres…"
"Quand on doit diriger des enfants ou des hommes, il faut de temps en
temps commettre une belle injustice, bien nette, bien criante: c'est ça
qui leur en impose le plus!"
"Quand on fera danser les couillons, tu ne sera pas à l'orchestre."
... Marcel PAGNOL !
BIOGRAPHIE
Pagnol, Marcel (1895-1974)
Ecrivain et cinéaste français. Fils d'un
instituteur et d'une couturière, Né à Aubagne, le 28 février 1895.
Ecrivain précoce, il fonde au sortir du lycée une revue littéraire,
Fantasio, qui est l'ancêtre des célèbres Cahiers du Sud. Devenu
professeur d'anglais, Marcel Pagnol se consacre d'abord à l'écriture de
pièces de théâtre, telles que les Marchands de gloire (1925) et Jazz
(1927). Il se met ensuite en congé de l'éducation nationale. Sa
troisième pièce, Topaze (1928), a encore pour cadre le milieu
enseignant.
Le succès vient rapidement avec une trilogie, qui débute
avec Marius (1929, filmé en 1931), pour se poursuivre avec Fanny (1932,
filmé en 1933) et se clore avec César (filmé en 1936, joué sur scène en
1937). Si l'intrigue de cette trilogie se construit autour de
l'aventure amoureuse entre Fanny et Marius et autour des
bouleversements qu'elle engendre, c'est pourtant la ville de Marseille,
idéalisée comme un port exotique, qui est à l’honneur : le port, les
cafés, les bruits y sont évoqués avec une force visionnaire. À tel
point que les personnages principaux, incarnés de façon inoubliable à
l'écran par Raimu, Pierre Fresnay et Orane Demazis, ne semblent être
que les porte-parole de la cité.
L'exotisme provençal contribue à la
réussite de ces oeuvres. Pagnol s'attache à montrer sous leur plus
belle lumière les paysages de Provence et surtout, dès l'avènement du
parlant, à faire entendre l'accent méridional. Il adapte lui-même ses
pièces au cinéma et les réalise, et dès lors, écrit la plupart de ses
pièces de théâtre comme des scénarios de films développés (c'est le cas
de la Fille du puisatier, 1940).
Pagnol adapte au cinéma des textes
littéraires d'autres auteurs (Giono, Baumugne). Parallèlement, il
adapte aussi au théâtre certains de ses films (la Femme du boulanger,
1938).
Il est élu à l'Académie française dès 1946.
A partir de l'un de ses films les plus connus, Manon des Sources
(1952), il tire deux romans, Jean de Florette et Manon des Sources.
Par la suite, il tourne Naïs d'après Zola, écrit les dialogues du
Rosier de Madame Husson d'après Maupassant et, en 1954, donne, avec
Trois Lettres de mon moulin, une adaptation de troix nouvelles
extraites du chef-d'œuvre d'Alphonse Daudet.
Après deux retours au théâtre avec Judas (1955) et Fabien (1956), et
après avoir consacré un dernier ouvrage au Masque de fer (le Masque de
fer, 1965), Marcel Pagnol finit par se consacrer essentiellement à
l'édition de ses Souvenirs d'enfances qu'il commence à publier en 1957:
la Gloire de mon père (1957), le Château de ma mère (1958), le Temps
des secrets (1960), le Temps des amours (posthume, 1977). Il
supervisera également l'édition de ses œuvres complètes en six volumes
(1964-1973).
Auteur comblé, ayant reçu tous les honneurs de son vivant, Marcel Pagnol est décédé à Paris le 18 avril 1974.
Un vieux pépé se rend chez le médecin avec se femme.
Le médecin demande au vieux de 95 ans le secret de sa longévité.
- Vous voyez Docteur, c'est que Dieu veille sur moi. d'ailleurs je vous avoues qu'il me fait des signes !
Regardez, hier matin je suis allé aux toilettes pour un besoin urgent et la lumière s'est allumée toute seule. Lorsque j'avais fini, elle s'est éteinte toute seule.
C'est bien une manifestation de dieu n'est-ce pas ?
- Exact répond le docteur. Ne voulant pas contredire le vieux.
Rhabillez-vous et attendez pendant que j'ausculte votre femme.
Entre alors la vieille mémé de 89 ans.
- Bonjour Docteur!
- Bonjour ! Dites-moi, votre pépé, il n'a plus toute sa tête...
Il m'a dit qu'hier matin la lumière des toilettes s'est allumée toute seule!
- Ah mince il a encore pissé dans le frigo !
Il y avait une fois un saint très contrarié car personne ne le priait.
Les gens priaient Saint Pierre, Saint Christophe, Saint François et bien d'autres, mais lui, rien !
Alors il demanda une réunion avec Dieu et ce dernier lui recommanda la chose suivante :
"Fais-toi faire des cartes de visites et répands-les dans le monde
entier. Tu diras que tu fais des miracles à la demande, mais par
contre, ne la donne ni aux couillons, ni aux femmes faciles !
Rappelle-toi bien : ni aux andouilles, ni aux femmes faciles !"
C'est ainsi qu'il suivit les conseils de Dieu, et à présent c'est le saint le plus miraculeux et le plus adoré dans le monde.
Dites-moi, comment s'appelle-t-il ce saint ?
Réfléchissez bien ! Rappelez-vous !
Vous ne savez pas qui c'est ?
...
Alors on ne vous a certainement pas donné la petite carte, hein ?
Prenez invariablement la position la plus élevée, c'est généralement la moins encombrée.
Charles De Gaulle
"la vie, comme l'eau de mer, ne s'adoucit qu'en s'élevant vers le ciel".
Alfred de Musset
"places la barre très haut, et exiges davantage de toi que des autres
François, c'est ainsi que tu mériteras leur respect".
(Maman)
On ne dit pas mon Amiral
Mais mon copain rouspète
On ne dit pas C'est l' Amazone
Mais C'est la que j'habite
On ne dit pas le ton monte
Mais la fille moche prend l'ascenseur
On ne dit pas un ingrat
Mais un petit gros
On ne dit pas un salami
Mais un mauvais copain
On ne dit pas Le Petit Poucet
Mais Le gosse était constipé
On ne dit pas Le processus de paix
est enclenché.
Mais Ouvrez les fenêtres!
Un français, un belge et un américain sont au bord d’une piscine.
Le belge manque de marcher sur un crapaud, qui se traîne devant lui. Il
prends délicatement le crapaud et le pose de l’autre côté du grillage,
pour qu’il ne lui arrive rien. Aussitôt, le crapaud se transforme en
fée! … La fée Mélusine (c'est la fée préférée du Parti Communiste...
car elle met l'usine en grève!)
La fée dit au belge « bravo, vous êtes un type bien… C’était un test,
grâce à vous, vos deux amis et vous-même vous allez pouvoir faire
chacun un vœu que je vais exhausser … Il vous suffira de déclarer votre
vœu, puis de sauter du plongeoir, et quand vous atteindrez l’eau de la
piscine, ce vœu sera immédiatement exhaussé ! Et elle disparaît.
Le français, qui a tout entendu, se précipite et réclame à haute voix
«beaujolais, une piscine de beaujolais! … » Il saute et se retrouve
dans une piscine de beaujolais ! …
Ensuite, c’est l’américain qui, après avoir réfléchi, saute en
demandant « dollars! Une piscine de dollars ! … » Son vœu se réalise
immédiatement et il s’empare aussitôt de la précieuse monnaie dans
laquelle il s’est retrouvé à baigner …
Quant au belge, il se dit « bah, ma foi je vais monter sur le plongeoir
et je verrai bien ce que je choisis au moment de plonger »… Il grimpe
donc l’escalier du plongeoir, mais, distrait, il loupe la dernière
marche et tombe en criant « MERDE ! »…
Un gamin voit un beau monsieur sortir discrètement de la maison des filles de joie. Il lui dit: Ah, lalalère, je sais où tu étais et ce que tu y as fait!
Le monsieur lui donne 10 francs en lui disant de se taire.
Le gamin le suit jusqu'à l'entrée de chez lui et lui dit: Tralalalère, maintenant je sais où tu habites! Le monsieur lui donne encore 10 francs en lui disant: C'est vilain ce que tu fais. C'est du chantage. Tu devrais aller te confesser.
Avec l'argent, le gamin achète des bonbons, s'amuse et finalement décide d'aller se confesser. Dans le confessionnal, il tire un peu le rideau et dit: Tralalalalère, maintenant je sais où tu travailles
...Et çà me tient à cœur !
Je vous fait donc partager mes phrases préférées.
Elles sont une partie de moi.
"Méfiez vous des gens qui ne savent pas dire non. Ils ne sont pas généreux pour autant. Ils vous le font souvent payer cher"
"Je déteste l’hypocrisie. Dans mon métier, c’est de devoir la cotoyer qui me coûte le plus"
"Je ne peux faire mal à ceux que j’ai aimés. Ma proctection leur est acquise, y compris contre moi"
"Les blessures font mal. Leurs cicatrices protègent. Mais c’est toujours un peu de nous qui s’en va"
"Comme il n’est pas facile de se mettre à la place de l’autre, certains n’ont jamais essayé!"
"Difficile d’être heureux sans être fier de soi. Le bonheur n'est pas une fin, c'est une récompense"
"Quand on veut vraiment, on peut toujours"
"N’oublies jamais François; Quand on a pas ce que l’on veut, mieux vaut vouloir ce que l’on a"
(ma mère, aujourd'hui décédée.)
A une heure et demi de la capitale, Amiens et sa région vous attendent …
Venez visiter ce département aux paysages multiples, verdoyant et préservé de la pollution…
La campagne picarde invite à la promenade, y compris dans le temps…
Êtes vous prêts pour ce beau voyage à travers les époques, qui vous
conduira de l’époque contemporaine à celle de Jules César , en passant
par le Moyen Age ?
A Amiens («Ambiani» à l’époque), les armées romaines, qui avaient rebaptisé
la ville «Samarobriva», choisirent d’y installer leurs quartiers généraux. Je vais aujourd’hui vous dire trois mots à leur sujet…
Les
voies romaines sont encore bien visibles, et on peut de nos jours
visiter le « Camp César », à quelques encablures à l’ouest de la
capitale picarde.
La « Somme » parcourait à cette
époque une succession de marécages. Ce sont les romains qui décidèrent
de « civiliser » un peu cette rivière, notamment aux abords du chef
lieu…
Et c’est ainsi que sont nés, il y a très longtemps, « les hortillonnages »…
Les « hortillons » sont des parcelles de jardin, aménagées aux portes d’Amiens, entourées de
multiples bras d’eau.
Leur visite guidée est organisée presque toute l’année par une association affiliée à l’Office du Tourisme.
Depuis l’origine, l’entretien de cet ensemble de petits canaux a été
impératif. Le droit coutumier a su, à travers les siècles, organiser et
perpétuer cette conservation jusqu’à nos jours.
Celui des
propriétaires qui ne remplissait pas ses obligations (maintien des
rives, dragage du fond,… ) se voyait purement et simplement dépossédé
de ses terres.
A
la belle époque, plus de 350 maraîchers se partageaient ces parcelles
dune terre très fertile car alimentée par le limon, et vivaient ainsi
de leurs cultures potagères. Ils allaient chaque semaine vendre, en
barques, leurs fruits et légumes au marché du «port d’Amont », au cœur
d’Amiens près du vieux quartier Saint-Leu….
Aujourd’hui ils sont dix fois moins nombreux et sont devenus des champions de la culture biologique moderne …
Les visites s’effectuent en barque, avec
deux options de parcours plus ou moins longs, et les billets sont
disponibles à l’embarquement, boulevard «Beauvillé», non loin de la
Gare SNCF.
Pour tout renseignement supplémentaire :
écrivez-moi [email protected]
Tirage au sort des numéros gagnants...
Lorsque
j'étais enfant, je vouais une admiration particulière pour un de mes
oncles qui avait quitté la SNCF pour s'installer à son compte comme
garagiste. Les premières années furent pour lui un pari risqué et
difficile, travaillant seul dans un petit garage en location.
Puis,
à la force des poignets, son affaire pris de l'ampleur et il devint
agent d'une marque française trés en vogue à l'époque...
... Dans les années 1960-1970 : "SIMCA"...
Le garage comptait six mécanos en plus de mon oncle, avant que sa fille
ainée ne vienne tenir la comptabilité. Tout petit, j'avais la passion
des arondes et des autres modèles plus modernes qui allaient et
venaient dans ce garage dynamique d'Amiens. Lorsque mes parents qui
possèdaient à l'époque une DS cherchaient après moi, il leur arrivait
fréquemment de me retrouver enfermé dans une aronde P60 de la famille
ou celle d'un client, car j'étais spécialement amoureux de ce modèle
là...
Plus tard, vers l'âge de 12 ans,
je m'empressais d'enfiler mon petit bleu de travail que m'avait offert
mon oncle, et j'allais balayer le garage chaque samedi aprés-midi, pour
la modique somme de 20 francs ! Ce n'était pas pour l'argent, et je
prenais tout mon temps car j'étais au paradis, entouré de toutes ces
belles voitures et des tous les outils de réparation...
Je me souviens encore parfaitement de l'odeur mélangée des produits de
carrosserie et des lubrifiants de la petite station service "ANTAR",
qui parfumait tout le garage ...
Lorsque j'ai eu mon permis de conduire, je me suis en quête d'une aronde P60, bien entendu, mais elles étaient devenues rares...
Surtout
en bon état. Aussi je me suis rabattu sur une simca 1100 que m'avait
offerte mon ancienne institutrice, et qui avait de ce fait encore plus
de valeur à mes yeux. Cette voiture avait 10 ans mais elle était comme
neuve, et je l'ai conservée 7 années, parcourant à son volant plus de
150 000 kms.
1986 : Je me souviens
avoir eu la larme à l'oeil lorsque mon oncle a décidé de fermer son
garage, après que la marque simca devenue "Talbot" ait été lâchée par
Le groupe PSA, sur fond de grèves à répétition à Poissy...
Et puis les années ont passé, et en 2000, après avoir eu nombre de
véhicules modernes de différentes marques étrangères ( j'avais toujours
une dent contre Peugeot ! ), je me suis enfin trouvé le temps et les
moyens d'honorer mon rêve de gamin, acquérir "mon aronde P60" !
Non sans mal, je me suis mis à la recherche de la plus belle P60 que je
pouvais encore dénicher ...
...J'ai parcouru pour cela toute la France, souvent déçu par l'état
dans lequel je trouvais les autos des petites annonces ou que mes amis
m'avaient signalées.
C'est deux années
plus tard que mon rêve allait enfin pouvoir se réaliser... Mon aronde
P60, celle dont je rêvais depuis si longtemps, elle m'attendait
sagement au fond du pays de Bresse, dans l'Ain.
Elle était "bleu
pervenche", appartenait depuis toujours à la même famille alors que le
grand-père qui l'avait achetée neuve en janvier 1961 était depuis
longtemps déjà décédé. Du coup, elle n'était presque jamais sortie et
avait moins de 10 000 kms d'origine !
Aujourd'hui cette aronde affiche toujours fièrement "14 750" kms au centre de son compteur chromé sur fond noir.
Je ne l'avais pas imaginé, mais l'arrivée de cette voiture a bousculé ma vie.
La voiture ancienne, c'est tout un art de vivre. Tout est différent à
son bord : la route, les week-ends, les voyages, les amis que l'on
cotoie...
Tout change de nature et une passion émerge, mélange de souvenirs nostalgiques qui remontent à la surface et de l'émerveillement des enfants à la vue de ces autos "extra terrestres" au bruit bizarre et si drôles à contempler...
La voiture ancienne, c'est un témoin "vivant" du passé, "en chair et en os", de taille réelle, avec le bruit, l'odeur, les sensations de conduite de cette époque... Tout y est !
Dans
les mois qui ont suivi, je n'ai pu résister à l'envie d'acquérir une
simca 1100... C'est une version "haut de gamme" que j'ai
déniché dans l'Yonne... Une "1100 spécial" de 7cv fiscaux, turquoise métalisée...
Puis a suivi une simca
"1308 GT" vert adriatique
strictement "neuve d'origine"...
Elle vient de Toulouse, et a davantage connu l'eau de lavage que l'eau de pluie. Elle a appartenue à un Colonel de Gendarmerie méticuleux et ne servait que pour les grandes occasions (puisque son propriétaire avait une voiture de fonction avec chauffeur).
Son état de conservation est spectaculaire, pour qui connaît la propention à rouiller de ces voitures produites dans les années 1975-1978 où la tole de récupération utilisée (notamment en provenance d'Italie) était de très médiocre qualité.
Elle n'a jamais été repeinte et ne présente strictement aucune trace de corrosion...
J'ai par la suite fait l'acquisition d'une Horizon SX automatique...
Un
modèle rare en cette version,
dotée d'une boîte américaine très robuste,
puisque dérivée des plus puissants modèles Chrysler USA.
(En effet, au lancement de cette voiture, la Chrysler Corporation
était pour quelques temps encore propriétaire de la marque simca)
Cette voiture est d'une présentation irréprochable.
Une Simca-Talbot "Solara GLS" de mai 1981, la plus
moderne et performante
des " 7cv " conçues et produites à Poissy,
est également venue
trouver refuge chez moi.
C'est une 1600 cm3, boîte 5 vitesses, qui pointe encore aujourd'hui à 200 km/heure compteur s'il vous plaît !
Avec sa teinte brun-orangée métalisée, bien typée années 80, elle
flashe un max! Je la trouve trognon et elle est super agréable à
conduire.
Enfin, le "vaisseau amiral" de la marque de 1971 à 1980, la "Chrysler" française...
La mienne est un modèle rare; Une "1610" de Janvier 1979...
marron métalisée, toit en vinyl crème,
Moteur 2 litres, 11cv fiscaux,
boîte mécanique 4 vitesses (pas automatique pour une fois!)
intérieur velours écru.
Sa sécurité passive était exemplaire : épaisseur des portes, zones de déformation programmée, habitacle indéformable... C'est une auto silencieuse et confortable, puissante (110 cv DIN), très nerveuse et rapide (180 km/heure chrono en pointe) pour son époque. C'est aussi une excellente tractrice.
Aujourd'hui, ma collection a déjà de l'allure, mais elle n'a pas fini de grandir.
Et ne me demandez pas laquelle je préfère de mes cinq autos anciennes,
je ne pourrai sincèrement pas vous répondre, tant l'affection que je
leur porte est du même ordre que celle d'un père pour ses enfants ; On
n' en choisit jamais un plutôt qu'un autre !
Mon malinois a déjà 8 ans et demi. Il est né le 02 juin 1998. Je l’ai recueilli dès l’âge de trois semaines, parce qu’il était d’une portée de 13 chiots et que sa mère était épuisée.
C’est donc moi qui l’ai sevré, au biberon. Il était alors à peu prés grand comme la moitié de sa tête aujourd’hui !
A six semaines, il était déjà propre et pour peu que la porte qui donnait dans le jardin était ouverte ( c’était l’été ), jamais je n’ai jamais retrouvé de salissures dans la maison.
Me suivant depuis toujours comme mon ombre, partout où je vais, Oscar est le gardien vigilant de la maison, mon garde du corps rapproché et surtout un ami indéfectible dont le regard parle de lui-même.
Il m’arrive souvent de l’observer, et je me demande comment lui, qui n’est pas un être « humain », peut-il avoir autant de profondeur dans le regard, autant de recul ou à l’inverse autant d’esprit d’initiative sur beaucoup d’évènements, comment il peut à ce point être en harmonie avec la « vie de famille », comment peut il, le plus naturellement du monde, comprendre silencieusement ce que les humains ne parviennent pas toujours à se dire entre-eux avec des mots…
Si le cheval passe pour la plus belle, le chien est probablement la plus ancienne « conquête » de l’homme. Les chats sont restés indépendants, je pense davantage par instinct que par intelligence, alors que les chiens ont appris à trouver chez l’homme l’autorité, la hiérarchie, et l ’organisation rationnelle qu’ils affectionnent, même à l’état sauvage, et qui leur apportait la sérénité et la sécurité.
Sans vouloir opposer chien et chat, je n’aime pas beaucoup l’idée toute faite selon laquelle « le chat est beaucoup moins bête que le chien, car il n’obéit que lorsqu’il en a envie »… C’est plus compliqué que cela à mon sens.
Alors que le chat est solitaire et indépendant par nature et n’obéit donc quasiment jamais à l’homme, le chien est un animal qui vit en groupe à l’état sauvage et qui a horreur du désordre. Il a besoin de repères stables. Chez l’homme, il a trouvé un « supérieur hiérarchique » qu’il a accepté de servir honnêtement et fidèlement, y trouvant lui aussi son compte.
Sur les cinq continents, les descendants du loup que sont les chiens avaient commencé leurs mutations génétiques en fonction de la sélection naturelle sur le terrain, mais la main de l’homme a vite été prépondérante dans l’apparition des « races »…
En fonction du rôle que l’homme souhaitait lui réserver, il s’est efforcé d’orienter la reproduction du chien pour atteindre et fixer les qualités requises des chiens qu’il était parvenu à domestiquer… Chiens de chasse pour aider l’homme a capturer les gibiers, chiens de berger pour défendre les troupeaux contre les loups et les ours, chiens de compagnie pour agrémenter la vie de famille, etc.…
On peut penser que ce « modelage » de l’homme sur le chien remonte à la préhistoire, et qu’il s’est constamment accéléré et perfectionné jusqu’à aujourd'hui.
Les échanges étant à l’origine limités, on a tout d’abord assisté à l’apparition, dans chaque pays ou région, d’un (parfois deux ) type de chien par usage voulu. Puis au fur et à a mesure du développement des échanges, de multiples races de chiens très différentes, partout dans le monde, ont pu être recensées…
Depuis toujours, l’homme dispose sur le chien d’une « carte maîtresse » très importante : la longévité ! En effet, sans une durée de vie 6 à 7 fois supérieure, ce modelage de l’homme sur le chien aurait été beaucoup plus difficile.
Le revers de la médaille, c’est que cet animal si proche de nous et si attachant, ne vit jamais très longtemps à nos côtés, et que le plus souvent il disparaît avant nous.
Pour en revenir à mon fidèle compagnon, je suis comme beaucoup d’entre-vous…
Quand il partira, j’aurai avec lui partagé une partie de ma vie, j’aurai dans la tête plein de souvenirs que je n’oublierai jamais, on aura été heureux ensemble…
Mais j’aurai surtout au fond de la gorge un goût bien amer quand il ne sera plus là...
Vous trouverez d'ailleurs les photos de mes titines de collection. Il s'agit, par ordre chronologique, des modèles suivants:
une Simca P60 modèle "étoile six" de 1961 (ci-dessus ),
une Simca 1100 spécial de 1974, (la première photo, tout en haut),
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